J’ai vu le jour en France au XXème siècle. Je suis un pilier de l’économie sportive. J’ai connu un réel essor au cours de ces vingt dernières années. Je suis je suis ?
✨ Le naming ✨
Support de communication reconnu et largement utilisé, au même titre que la publicité dans les médias ou les relations publiques, plusieurs raisons expliquent l’avènement du sponsoring. La montée en flèche des réseaux sociaux, la médiatisation toujours plus importante des événements sportifs, la recherche de notoriété des entreprises pour ne citer qu’elles.
Chez Urbisport, nous proposons d’associer les entreprises avec le monde du sport. Le sponsoring est un outil de communication original pour les entreprises et marques qui souhaitent associer leur image aux valeurs positives que véhicule le sport tels que le respect, l’inclusion ou encore l’entraide.
❓Le saviez-vous ? Un des dérivés du sponsoring, le « naming », qui signifie littéralement : donner un nom, est bien plus présent qu’on ne l’imagine. Le CDES et l’observatoire du naming Sporsora nous apprennent qu’en l’espace de 3 ans le nombre d’opérations de naming a doublé en France, passant de 9 en 2019 à 18 en 2022.
Depuis une décennie, les marques se sont approprié cette tendance, entre les stades, les compétitions, les équipes… Prenons par exemple l’AccorHotels Aréna à Paris, la Lidl Starligue pour le handball, ou la Groupama-FDJ en cyclisme, pour ne citer qu’eux. Ces annonceurs sont d’ailleurs prêts à investir des sommes toujours plus considérables pour être associés aux événements, clubs et athlètes de première envergure. Ces formes d’échanges sont sur des supports variés. Plus une information est répétée, plus elle a de chance d’être retenue sur le long terme.
L’objectif de cette communication est cognitif, pour qu’une information passe de la mémoire à court terme vers la mémoire à long terme. En somme : rester gravé dans les mémoires. Le naming est en réalité une forme de publicité très subtile dans laquelle l’entreprise sponsor tire plusieurs bénéfices. Elle gagne en visibilité, améliore son image de marque et augmente sa notoriété. À titre d’exemple, le stade de l’Olympique Lyonnais porte le nom de la société d’assurance Groupama contre la modique 5,5 millions d’euros par saison jusqu’en 2025.
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🧐 L’avis Urbisport :
Urbipour / Urbicontre ? Les avis divergent… Selon nous, cette forme de publicité est très complexe à quantifier, néanmoins, elle agit directement sur la notoriété de l’annonceur.
Le ➖ : Le naming repose sur des risques non-maitrisables, si bien qu’associer son image lors d’un bad buzz peut nuire indirectement à l’annonceur.
Le ➕ : Le naming propose une exclusivité sur le support d’annonce ce qui peut être intéressant, une source certaine de notoriété.
L’urbisupplément : Nous vous proposons des offres sur-mesure pour répondre au mieux à vos attentes. En ce début d’année nous vous proposons d’associer votre image à celle de l'Alpes Isère Tour
Je trouve que le naming fonctionne bien avec de nouvelles enceintes (exemple Groupama Stadium à Lyon). Par contre avec des enceintes déjà existantes et donc ayant déjà un nom (Vélodrome à Marseille), les habitudes restent et les premiers noms aussi..